In trying to write this blog in English I hope finally able to start jabber a few words in this language. I will mobilise various tools for that my text be in accordance with the rules of grammar and spelling. Thanks for your corrections and comments.

Monday, May 12, 2008

After housework

12 comments:

Lilian said...

Disculpa Momo pero que tiene que ver planchar camisas y limpiarte tu casa con ser maternal?

A menos que fueses un niño que todavia necesita que lo vistan y lo alimenten, en mi opinion, ser maternal esta relacionado con poner atencion a lo que dices, escucharte, y hacerte sentir que ella esta siempre disponible para cuando la necesites pero no precisamente para limpiar :)
Un abrazo--

Now in English...
Excuse me Momo, but what is the relation between ironing your shirts and cleaning your house with being motherly?

Unless you were still a child that could not feed or clean after himself, in my personal opinion, being motherly is more related to listening to you, and making sure you know she's there for you whenever you need her, but not precisely to clean :)
A Hug--

Tomas Bradanovic said...

Lilian, esos pequeños -o grandes- trabajos son una de las formas usuales de expresar afecto en algunas personas: planchar la ropa o hacer un postre equivalen a escucharte, hacerte sentir, etc. Además son expresiones de afecto mucho más útiles para el que las recibe :)

Lilian said...

Does this mean that when you love a woman, you also clean and cook for her to show your affection?

Lilian said...

Sorry - this question was addressed to Tomas :)

Momo said...

Ola Lilian, haré mía la respuesta de Tomas (gracias Tomas).

Es necesario por otra parte también tener en cuenta el hecho de que mi madre no era afectuosa (ni carinosa), tanto asi que quando dejò de acerme esas pequenas cosas no me quedò mas nada de amor.

Ese fué mi confuso sentimiento de ninho.

Hay un libro hermoso de Albert Cohen ("Le livre de ma mère", "El libro de mi madre", ediciones Gallimard 1954), dónde habla de esa manera de amar maternal (solo que la madre de Cohen, ella, era afectuosa ademas). Es una de las más bonitas novelas de amor que e leido.

Convendría traducir esta respuesta en inglés pero ya no tengo mas la fuerza.

No se si me explico (hum... si no se comprendre tendré que reescribir este post) ?

Good night and a hug....


PS: Pero preciso que mi madre se está poniendo maternal : cuando me prepara y me trae galletas y dulces à la casa, cuando me plancha las camisas, sí, para mi eso es una forma de amor la verdad.

Momo said...

Lilian,

I answer for the question adressed to Tomas: Yes, Absolutely! And I like very much to cook for the womans that I love. But it's not the question, because the love of the mother is not precisely same that the conjugal love.

A Hug...

Lilian said...

Entiendo tu respuesta, claro. Pero tengo un largo argumento que debatiria ciertos aspectos de la imagen estereotipica de la madre que tienen tu y Tomas. No voy a decir nada mas porque no quiero aburrir a nadie ni tampoco quiero parecer insistente.
Salu2

Doréus said...

Need I take sides? This post was most strange... I can see very well that motherly love can be expressed in household help under certain circumstances, but it mustn't be that way... I am particularly taken aback by the last sentence of the original post: having your mother as a "docile servant" really sounds exploitative.

Now, I cannot judge family dynamics nor do I intend to. It may be that this is the way your mother expresses her care for you. It's the return feeling I don't quite get.

No sé si lo que he dicho se entiende bien... Me parece que en ciertas situaciones se puede de ser que tu mamá expresa su cariño en ayuda dómestica, pero no me queda bien la idea que ella tenga obligación de hacerlo, de actuar como “sirviente dócil”.

Momo said...

Bonjour Doreus et Lilian,

Je réponds en français parce qu'en anglais je n'y arriverai pas.

Je suis bien conscient du problème posé par ce post, notamment par la dernière phrase qui pourrait paraître scandaleuse, voire dangereuse à l'oreille de quiconque aurait un minimum d'outils théoriques concernant certains acquis sociaux de notre histoire contemporaine.

La faute n'incombe qu'a moi, vu que je n'ai pas été capable de choisir les mots adéquats pour exprimer mes sentiments ambivalents à l'égard de ma mère.

Il y aurait aussi des éléments auto-biographiques qu'il faudrait mettre en avant, mais bon.

L'expression "servante docile" est un peu citationnelle, puisque je l'ai emprunté a Albert Cohen, toutefois dans son livre il n'y a aucune once de machisme ni de mépris à l'égard de sa mère et des femmes en général, bien au contraire.

Je suis navré d'avoir crée cette impression de "mépris" ou de - j'anticipe ce mot même s'il n'a pas encore été prononcé - "machisme".

Est-il nécessaire de préciser que je suis complètement et absolument solidaire des femmes dans leur luttes et leurs acquis sociaux, politiques, économiques, culturels, etc... ?

J'ai voulu jongler avec l'ambivalence de mes sentiments à l'égard de ma mère, mais c'est un exercice risqué, et de toute évidence je n'y suis par parvenu.

Je crois que Tomas a bien compris que ce que je voulais dire, à savoir que ces petits services rendus par certaines mères (selon leurs culture, leurs éducation, etc.) sont une façon qu'elles ont d'exprimer de l'affection à leurs enfants (faute d'autres types d'affections notamment, ce qui est le cas de ma mère).

L'exercice est aussi bien évidemment historico-culturel, toutes le mères du monde n'expriment pas leur amour de la même façon, la mère d'Albert Cohen était une mère juive, ma mère était une réfugiée politique chilienne, avec des origines rurales, arrivée en Suisse à une époque ou la lutte des femmes était, semble-t-il, très vivace (et plutôt bourgeoise).

La question que je me pose par ailleurs c'est la façon dont ma mère a traité ces informations dans un contexte de déracinement, car il n'y a aucun doute pour moi que l'amour maternel (et l'amour tout court) est une affaire d'histoire et de culture.

Mais, au delà de ça, je voulais surtout me réjouir du fait que ma mère me témoigne de l'affection (peu importe comment), après m'avoir un peu délaissée à l'aube de mon existence.

Doreus, tu dit que ce post est le plus "bizarre", il y en a-t-il donc d'autres qui te tracassent ?

Ton opinion m'intéresse.

Cordialement.

M

PS: Cela dit, en postant ce billet j'étais conscient de l'émotion que ça pouvait provoquer.

Lilian said...

First of all, I'm soooo glad to read Doreus comment... uff! for a second I thought I had moved back in time to the 50's and we -women- had to start all over again fighting stereotypes :)

Momo, I understand you very well, I think. You have come out very clean and clear; not as a machista at all. You were just very honest expressing your feelings and that is great to read. At the same time, you mother has probably changed. She's more mature; at this point she has probably realized that there were some political utopias that were not worth the time she could have spent with her children, playing with them and huging them.

Momo, my last post was in part -only in part- inspired by my first sense of dislike after I read your post [this one].

Cheers!

Doréus said...

Ah! Tout s'éclaire!

Now it makes sense. Your original post did carry this sense of ambiguity in the relation your mother and yourself have.

It is, you realised it, a very difficult subject and I must say you were brave to attempt to express it in a language in which you are not quite comfortable. Your last comment clarifies the issue.

Take care!

P.S. When I wrote that this post was "most strange", I did not mean the most strange. I meant very strange. There is always an eerie quality to your posts (and I like that), but this one I found actually quite disturbing. You have now made your meaning clearer.

Momo said...

Hum... je suis obligé de reconnaître, en me relisant, que l'expression "servante docile" est tout de même quelque peu inappropriée et excessive.

Ce blog aimant (par principe) le repentir, les ratures et les corrections, je me suis permis de procéder à un petit remaniement (la dernière phrase a fini par m'énerver moi aussi).

Lilian en témoignera, je n'en suis pas à mon premier post remanié, corrigé ou carrément retranché.

Raison pour laquelle - nul besoin de se le cacher - je me réserve le droit à bien d'autres repentirs encore (du reste, je trouve que la question du repentirs dans la blogosphère, et notamment le principe d'écriture collaborative, mériterai un long développements).

Alors, merci encore pour vos pertinentes observations et commentaires les amis, etc...

Cordialement